PDG d’une multinationale et bâtisseur de puits : portrait d’un philanthrope millionaire
Aujourd’hui une (autre) histoire positive : celle d’un chef d’entreprise aussi talentueux que généreux, qui, après avoir fait fortune sur le web, consacre son énergie à des projets humanitaires.
Une success-story made in France
Le nom de Jean-Baptiste Descroix-Vernier ne vous dit peut-être rien. Et pourtant il est à la tête d’un portefeuille de sociétés qui le classe parmi les 500 plus grandes fortunes de France !
Fils d’un agriculteur et d’une institutrice, Jean-Baptiste Descroix-Vernier est ce qu’on appelle un self-made man.
De ses origines modestes, il parvient à terminer ses études de droit, devient avocat et se spécialise dans le conseil aux entreprises du Multimédia.
Au début des années 2000, il fonde sa propre société sur internet, Rentabiliweb.
Il fait ainsi fortune sur le web et met même le pied en politique en constituant le premier Conseil National du Numérique, sous la présidence de N. Sarkozy.
Avant l’âge 40 ans, il est déjà multi-millionaire.
Un philanthrope engagé
Révolté par les inégalités qui régissent le monde, Jean-Baptiste Descroix-Vernier créée en 2002 son organisme humanitaire : la fondation Descroix-Vernier.
Il s’est ainsi donné pour missions de favoriser l’accès à l’eau potable aux villages africains isolés, de venir en aide aux sans-abris de France, et d’oeuvrer pour la sauvegarde de l’environnement à travers différents projets internationaux.
Reconnue d’utilité publique par de nombreux gouvernements d’Afrique subsaharienne, la fondation Descroix-Vernier a permis l’installation et la construction de plus de 70 puits, donnant ainsi accès à l’eau potable à plus de 500 000 personnes !
« C’est ici qu’on sauve le monde, c’est pas à Paris »
Jean-Baptiste Descroix-Vernier est un homme de terrain.
Il n’hésite pas à se rendre directement sur les chantiers et à mettre la main à la pâte pour participer à la construction des puits.
A ce jour, il a déjà contribué à hauteur de plusieurs millions d’euros de sa fortune personnelle.
Et il ne compte pas s’arrêter là : JBDV s’est déjà engagé à léguer l’intégralité de sa fortune à sa fondation à sa mort.
Un patron aimé et atypique
Jean-Baptiste Descroix-Vernier ne correspond pas vraiment au cliché du business-man inaccessible et avide de pouvoir.
Ce dernier a choisi de vivre sur une péniche, amarrée à Amsterdam, avec ses chats, d’où il pilote les opérations de son entreprise.
Un pionnier du télétravail ? Lui comme ses salariés affirment que JBDV reste accessible à tout moment de la journée, aussi bien pour la femme de ménage que le directeur financier.
L’homme d’affaires, amateur de théologie et de spiritualité, se contente d’un petit salaire qu’il se verse chaque mois, et ce afin de consacrer un maximum de bénéfices à ses salariés et les ONG qu’il parraine.
Vous souhaitez en savoir plus sur la fondation Descroix-Vernier ? Rendez-vous directement le site de l’ONG ( href : https://www.fondationdescroixvernier.com/la-fondation/) pour plus de détails.
Merci à toi Jean-Baptiste Descroix-Vernier !
Photo : DR